Ce poème de Georges Castera est tiré de son recueil Le trou du souffleur.
Le souffleur est comme le poète l’observateur de la réalité qui l’entoure, attentif aux désirs qui l’envahissent. La femme, toujours dans son champ de vision est au centre de cette poétique où la vie et la mort se côtoient inlassablement.