Nous vous attendons nombreux pour le vernissage de l’exposition de Ye Xin- Le cheval de Victor.
Le verre de l’amitié vous attend ainsi que l’artiste !!! À partir de 17h00 !
Nous vous attendons nombreux pour le vernissage de l’exposition de Ye Xin- Le cheval de Victor.
Le verre de l’amitié vous attend ainsi que l’artiste !!! À partir de 17h00 !
L’ivre de Bords de Mourier Maurice.
Livre d’un poète de la marge, volontairement des bords, dont le souffle ivre de mots, d’exclamation, d’interrogation, vous soulève par l’étonnement l’inhabituel des associations, des images sans concession:
» Expectore vieux maussade
Expectore même à travers
Crache sur tout ce qui crâne… »
Il y a de la jouissance rabelaisienne du vocabulaire, des sonorités; une ivresse à saisir avant La Finale:
“Faut une fin finale
Une fin après laquelle il n’y aura plus de fin
De faim de frime de petite ficèle de fumerolle…
C’est con la mort
Comme la mort
Meuh ! ”
Accompagné par les dessins tout aussi inattendus et créatifs de Tristan Felix, nous parcourons dans L’ivre de bords une piste étroite de surprises tonifiantes.
Considéré comme l’un des plus grands auteurs de langue espagnole, son œuvre littéraire a reçu les plus grands prix littéraires : le Prix Reine Sophie de poésie ibero-américaine en 2005, et le prix Cervantes en 2007 considéré comme le plus grand prix littéraire de langue espagnole, l’équivalent du Nobel, parmi de nombreux autres prix…
Poète, écrivain, journaliste, traducteur, militant politique engagé, sa vie concentre à elleseule les horreurs de la dictature argentine.Menacé de mort, il est en exil forcé de 1976 à 1982 en Europe (Rome et Paris). Il choisit en 1988 de vivre à Mexico dont il était Citoyen d’Honneur.
L’AMANT MONDIAL, poèmes 1962-1965
Ce qui fait crier les poèmes de Juan Gelman, c’est la douceur des mots contre la cruauté. des mots sous. Ou comme le dit Julio Cortázar: “Peut-être le plus admirable de la poésie de Gelma est-il cette presque inconcevable tendresse là où serait beaucoup plus justifié le paroxysme du refus et de la dénonciation.” Fureur donc et refus de fureur. C’est là, dans le paradoxe pluriel, qu’intervient le poème, seul à être capable de dire l’indicible.
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